La Chaîne de l’Espoir privilégie une approche qui met l’accent sur l’ancrage local du projet :
- partenariat avec le secteur privé pour des investissements très ciblés (exemple: une partie de l’équipement médical), mais aussi pour la couverture des soins de santé de certains enfants.
- la qualité des projets est une condition indispensable à l’atteinte durable des objectifs fixés : l’ONG privilégie pour ce faire un modèle de gestion collaboratif du projet avec ses partenaires.
- outil de gestion commun pour la réalisation d’une mission clairement identifiée et partagée par tous les partenaires, via une convention de partenariat spécifique, ou via une abl « coupole » constituant alors une plateforme partenariale de coordination.
- stratégie institutionnelle : processus d’identification et d’analyse participative des problèmes/besoins et des solutions à mettre en œuvre, en consultant toutes les parties prenantes du projet – organisations partenaires qui partagent les mêmes objectifs, et actives sur le terrain, opérateurs santé privé et publics, experts, donateurs privés ou publics, autorités et programmes sanitaires nationaux…
- renforcement des capacités des partenaires locaux pour garantir la mise en œuvre du projet de manière autonome à moyen – long terme.
- désengagement graduel de la CDE-B de ce type de structure se fait en fonction des résultats :
- expertise médicale (plan de formations spécifiques, décisions techniques médicales pour le projet) ;
- moyens financiers (système de collecte de fonds propres pérenne) ;
- ressources humaines : compétences de gestion.